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pétrole extractivisme

mai 2024

En autorisant discrètement de nouveaux puits qui risquent de contaminer la source d’eau potable à proximité, l’Etat consacre une aberration environnementale et sanitaire.

avril 2024

Le titre du groupe pétrolier et gazier portugais Galp Energia s'est envolé de 20% à la Bourse de Lisbonne au lendemain de l'annonce de la découverte d'un gisement au large de la Namibie pouvant contenir 10 milliards de barils de pétrole.Dans un marché en hausse de 3,3% à la clôture des marchés, le titre de Galp a bondi de 20,64% à 19,35 euros, soit presque son plus haut niveau historique atteint en 2007, à 19,50 euros.

février 2024

La militante suédoise Greta Thunberg, accompagnée par une coordination internationale de jeunes activistes du climat, s’est rendue les 10 et 11 février dans le Tarn et à Bordeaux en solidarité avec des luttes locales.
Traduction - C’est une exclusivité : La réunion a eu lieu quelques jours après que BP a annoncé des bénéfices records, alors que les ménages devaient faire face à des factures d’énergie élevées.

décembre 2023

Le monde n'a jamais autant consommé de pétrole avec 102,3 millions de barils de pétrole par jour (b/j) soit plus de 16 milliards de litres par jour ou une moyenne de 2 litres par habitant. Pour 2024, les prévisions dépassent les 104 millions. Alors que de nombreux pays ont dépassé leur pic pétrolier et que d'extraire plus de 100 millions de barils chaque jour devient une équation avec de plus en plus d'inconnues, quels sont les 5 plus grands extracteurs actuels? Tour d'horizon des pays qui sont à la base de notre succès économique et sur lequel tout repose.
Le Brésil, qui suit avec "préoccupation" les tensions entre le Venezuela et le Guyana, voisins à sa frontière nord, tente de se poser en médiateur du différend territorial sur la région de l'Essequibo."S'il y a une chose dont nous ne voulons pas, c'est une guerre en Amérique du Sud", a lancé la semaine dernière le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Le Conseil de sécurité des Nations Unies se réunit vendredi "en urgence" à huis clos pour débattre de la crise entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, une région disputée riche en pétrole, alors que la Russie a appelé à son tour à une solution "pacifique".
Réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, appel au calme des pays sud-américains... La communauté internationale s'inquiète de la tension grandissante entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, territoire riche en pétrole en dispute entre les deux pays.Sur le terrain, les Etats-Unis ont annoncé réaliser des exercices militaires aériens qualifiés de "provocation" par le Venezuela.
Le Conseil de sécurité de l'ONU se penchera vendredi à huis-clos sur la crise entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, région riche en pétrole de ce petit pays, où les Etats-Unis ont annoncé jeudi dans un contexte de grande tension des exercices militaires aériens.L'ONU répond ainsi à une demande du ministre guyanien des Affaires étrangères Hugh Todd qui a sollicité une réunion d'urgence du Conseil sur cette région sous administration guyanienne mais revendiquée par le Venezuela.
Les Vénézuéliens étaient invités dimanche à se prononcer sur la création d'un nouvel État vénézuélien sur le territoire de l’Essequibo, riche en pétrole et sous administration du Guyana. Ils ont voté "oui" à 95 % lors de ce référendum consultatif, qui n'aura pas de conséquences concrètes à court terme.
Le président brésilien Lula a déclaré dimanche qu'il espérait que "le bon sens" allait prévaloir entre le Venezuela et le Guyana, le jour où Caracas organise un référendum pour renforcer ses prétentions sur une région riche en pétrole sous administration de Georgetown."J'espère que le bon sens va prévaloir, du côté du Venezuela et du Guyana", deux pays situés à la frontière nord du Brésil, a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva depuis Dubaï, en marge de la conférence de l'ONU sur le climat COP28.

août 2023

Le Royaume-Uni va accorder des centaines de nouvelles licences d’exploration et d’exploitation pétrolières et gazières en mer du Nord. Les écologistes dénoncent une décision catastrophique pour le climat.

juillet 2023

Le premier ministre, Rishi Sunak, a insisté sur l’indépendance de son pays et la sécurité des approvisionnements. Chez les conservateurs, mais aussi dans l’opposition travailliste, certaines politiques écologiques sont remises en cause.
Le gouvernement britannique a promis lundi des "centaines" de nouvelles licences d'exploration et d'exploitation pétrolières et gazières en mer du Nord, dans la foulée de l'engagement du Premier ministre Rishi Sunak d'agir de manière "pragmatique et proportionnée" contre le réchauffement climatique.En faisant une telle annonce, l'exécutif s'expose à de lourdes critiques de la part d'organisation écologistes sur le sérieux de son engagement pour l'environnement.
Ce ne sont pas les mauvaises nouvelles de cette année sur le front climatique qui semblent empêcher les géants pétroliers de revenir sur leurs promesses de réduire leurs émissions. Coup sur coup, trois des plus gros ont fait des annonces allant dans l’autre direction.

juin 2023

Le pays a commencé à forer un puits de pétrole dont la profondeur prévue – 10 000 mètres – impliquera de traverser pas moins d'une dizaine de strates continentales. À l'initiative du président chinois Xi Jinping depuis 2021, l'exploration souterraine s'intensifie.

mars 2023

Ce mercredi 29 mars, une portion du golfe du Mexique – de la taille de l’Italie – sera mise aux enchères par le gouvernement américain pour réaliser des forages pétroliers et gaziers. Voilà qui écorne quelque peu l’image de “président écologiste” que souhaite donner Joe Biden, relève une partie de la presse internationale.
L’administration Biden a donné son feu vert à un mégaprojet de forage pétrolier en Alaska sur des terres appartenant à l’État. Durant la campagne présidentielle, Joe Biden avait déclaré : « Plus de forage sur les terres fédérales, un point c’est tout. »
Du pur “en même temps”. Lundi 13 mars, le gouvernement américain donnait son feu vert au projet pétrolier Willow du géant américain ConocoPhillips en Alaska, au cœur de la plus grande propriété foncière de l’État fédéral. Le même jour, le même gouvernement annonçait son intention d’interdire les forages pétroliers et gaziers sur plus d’un million d’hectares dans la mer de Beaufort et l’océan Arctique.
Six associations environnementales ont annoncé mardi poursuivre le gouvernement américain après son autorisation, la veille, du grand projet pétrolier Willow, dans le nord-ouest de l'Alaska. L'administration du président Joe Biden a autorisé ce projet "bien qu'il ait reconnu les préjudices entraînés et échoué à les réduire pour les populations de l'Arctique, la santé publique, la vie sauvage et le climat", a déclaré dans un communiqué l'une des six associations, Sierra Club.

février 2023

Mardi 28 février, la justice a débouté les ONG opposées à la multinationale TotalÉnergies et à Eacop, son projet pétrolier en Ouganda et Tanzanie. Zoom sur 6 chiffres clés pour en comprendre l’ampleur. • Les premiers barils de pétrole prévus pour 2025 Depuis le mois de janvier, les forages ont commencé en Ouganda dans la zone Kingfisher et bientôt dans celle de Tilenga : 400 puits, dont 130 dans le parc national des Murchison Falls, au cœur d’un mégaprojet pétrolier de TotalÉnergies. Ces zones de forage (...)

janvier 2023

La Norvège envisage d'ouvrir un nombre record de blocs dans l'Arctique à la prospection d'hydrocarbures, a indiqué mardi son gouvernement, une annonce vertement accueillie par les défenseurs de l'environnement.Plus gros fournisseur de gaz naturel de l'Europe et producteur important de pétrole, le pays scandinave propose 92 blocs à l'exploration, dont un nombre sans équivalent de 78 en mer de Barents dans le Grand Nord. Les 14 autres sont situés en mer de Norvège, tout près du cercle polaire.

décembre 2022

Nous avons l'immense honneur de vous présenter notre premier reportage d'une série de plusieurs vidéos autour de l'Amazonie, ceci est un nouveau format et nous espérons beaucoup qu'il vous plaira autant que nous avons eu de plaisir de le développer. Cette vidéo aborde la situation en Amazonie à travers un résumé de la situation politique et de l'impact sur le vivant dont les peuples autochtones, gardiens et gardiennes de la forêt. Est-ce que l'occident qui importe énormément du Brésil peut participer à une économie respectueuse du vivant en soutenant le commerce équitable ?
Energy and extractive industry giants are targeting environmentalists with racketeering charges.
Des enchères de blocs de pétrole pré-salifères au Brésil ont rapporté vendredi 916 millions de réais (près de 173 millions de dollars), avec plusieurs groupes étrangers parmi les acheteurs, dont Total, Shell et BP. Seuls quatre des onze blocs offerts ont trouvé preneurs, mais le montant total correspond à près des trois quarts des 1,28 milliards de réais escomptés. Selon l'Agence Nationale du Pétrole (ANP), au-delà du prix payé pour l'obtention des concessions, ces enchères "garantissent au moins 1,44 milliards de réais (270 millions de dollars) d'investissements" dans le secteur au Brésil.
L’Antarctique regorge de ressources minières et d’hydrocarbures. Le continent est protégé de l’exploitation jusqu’en 2048. Mais après ? Déjà, les pays se préparent. [1/4]

novembre 2022

Quatrième producteur de pétrole mondial, le Canada fait face au phénomène des puits inactifs et orphelins.
La Libye cherche à augmenter sa production pétrolière "à 2 millions de barils par jour d'ici trois à cinq ans", a fait savoir le patron de la Compagnie nationale de pétrole NOC qui participe à un salon international sur le pétrole aux Emirats arabe unis. Cela signifierait un quasi doublement par rapport aux niveaux actuels de 1,2 million de barils par jour qui devraient générer "des revenus du pétrole pouvant atteindre entre 35 à 37 milliards de dollars cette année", indique Farhat Bengdara, chef de la NOC, dans une publication mardi sur Facebook.

octobre 2022

L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, parmi les plus grands exportateurs de pétrole brut au monde, ont plaidé lundi pour des investissements dans toutes les énergies, y compris les hydrocarbures, à quelques jours de la conférence de l'ONU sur le climat. Longtemps critiqués pour leurs industries gazière et pétrolière polluantes, les riches Etats du Golfe ont été largement courtisés ces derniers mois par les pays occidentaux qui cherchent à limiter l'envolée des prix des hydrocarbures, dans un contexte d'inflation mondiale accélérée par la guerre en Ukraine. "Le monde a besoin de toutes les solutions possibles: ce n'est pas le pétrole ou le gaz, le solaire ou l'éolien ou le nucléaire, mais tout cela en même temps", a déclaré le ministre émirati de l'Industrie et des Technologies avancées, Sultan al-Jaber, lors d'un salon international sur le pétrole à Abou Dhabi.
Fracturation hydraulique réautorisée, permis d’extraction de pétrole validés, droit de l’environnement attaqué… La Première ministre conservatrice multiplie les attaques contre la nature.

septembre 2022

Autrefois premier producteur de brut d’Afrique, le Nigeria a cédé ce mois-ci sa place à l’Angola, et pourrait même prochainement passer au troisième rang, derrière la Libye.
Le Parlement européen a épinglé jeudi le mégaprojet d'exploitation pétrolière de TotalEnergies en Ouganda et Tanzanie, s'inquiétant des "violations des droits de l'Homme" commises à l'encontre des opposants au projet et demandant au groupe français d'étudier une alternative. À main levée, les eurodéputés, réunis en session plénière à Strasbourg, ont adopté un texte non contraignant mais particulièrement critique à l'encontre des projets d'investissements dans les énergies fossiles en Ouganda et Tanzanie. L'institution se dit "vivement préoccupée par les violations des droits de l'Homme" commises dans ces deux pays, citant "arrestations, actes d'intimidation et harcèlement judiciaire contre les défenseurs des droits humains et les organisations non gouvernementales".
Réalisées par les majors TotalEnergies et Shell, les quantités commerciales de pétrole sont estimées à plusieurs milliards de barils.
Le pétrolier Perenco veut exploiter le sol d’un territoire indigène péruvien par tous les moyens. Un ancien dirigeant du groupe est Jean-Michel Runacher, père de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.
Près des trois quarts des projets de « capture du carbone » servent en réalité à l’extraction du pétrole. Telle est la conclusion d’un rapport publié le 1er septembre par le groupe de réflexion Institute for Energy Economics and Financial Analysis (IEEFA). Alors que ces technologies visent à extraire le CO2 de l’atmosphère afin d’atténuer le changement climatique, leurs effets bénéfiques pourraient être annihilés par la combustion de l’énergie fossile extraite.

juillet 2022

Un collectif de 4 organisations du Nord-Kivu juge la décision de vente aux enchères de 30 blocs pétroliers et gaziers par le Gouvernement congolais, d’une « extrême dangerosité » sur l’avenir des aires protégées de la RDC, et de la justice climatique.
La République démocratique du Congo va lancer, jeudi, l’appel d’offres pour des droits d’exploitation de gisements pétroliers, dont une partie se trouve dans des zones forestières vitales dans la lutte contre le réchauffement climatique. Un projet controversé que les autorités justifient par des impératifs économiques.

juin 2022

La séquestration de carbone est-elle menacée en République démocratique du Congo (RDC). On peut tenter de répondre par l’affirmative. En effet, la RDC prévoit d’ouvrir au marché 16 blocs d’exploration pétrolière à partir du mois prochain. On estime que ceux-ci contiennent 16 milliards de barils de réserves de pétrole brut. D’après Bloomberg qui donne l’information et repris par comprendre.media, cette décision menace certains des puits de carbone les plus importants au monde. Elle pourrait également compromettre l’accord de préservation des forêts de 500 millions $, adopté lors de la COP26 à Glasgow en Ecosse.

mai 2022

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé mardi qu'il démarrerait en 2025 l'exploitation du champ de Ballymore situé au large du Golfe du Mexique, tablant sur 75.000 barils de pétrole par jour, dans un communiqué. La compagnie française s'est engagée vers la neutralité carbone, pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, mais elle ne cesse de dire qu'elle veut continuer à répondre à la demande en gaz et en pétrole tant qu'il y en a, et qu'elle ne compte pas renoncer à développer de nouveaux gisements.
Le ministre canadien de l'Environnement Steven Guilbeault est visé par une action en justice initiée notamment par Equiterre, l'organisme écologiste qu'il a lui-même co-fondé il y a près de 30 ans, pour avoir approuvé le projet pétrolier Bay du Nord dans l'est du pays. "Ecojustice, au nom d'Equiterre et de la Fondation Sierra Club Canada, a déposé la poursuite contre le ministre de l'Environnement et du Changement climatique à la Cour fédérale le 6 mai", a déclaré Equiterre dans un communiqué, mercredi.

avril 2022

Joe Biden recule sur une promesse clé de son programme. Le président américain qui a fait de la lutte contre le changement climatique une de ses priorités, avait peu après son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2021 proclamé un moratoire sur l’octroi de nouvelles concessions pour des forages pétroliers et gaziers sur les terres et les eaux appartenant au gouvernement, dans l’attente d’une révision.
À l’heure où il devient plus que jamais urgent de se délaisser des ressources fossiles, la mise en place de projets controversés reste d’actualité. Preuve en est avec de futures nouvelles installations pétrolières dans l’océan Atlantique, au large de Terre-Neuve.
Pour garantir un avenir vivable, la consommation d’énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon), particulièrement polluantes, doit être drastiquement réduite. C’est ce qu’a rappelé le dernier rapport du Giec publié lundi. Quelques jours plus tard, alors qu’il faudrait couper le robinet, le Canada annonce qu’il donne son aval pour la construction d’un grand projet pétrolier controversé dans l’océan Atlantique.
Le gouvernement du Canada, quatrième producteur mondial de pétrole, a donné son aval pour la construction d'un grand projet pétrolier controversé dans l'océan Atlantique, a annoncé mercredi le ministre canadien de l'Environnement Steven Guilbeault.

mars 2022

Ce sera leur premier véritable test environnemental : six mois après sa réélection, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et son nouveau ministre de l'Environnement, l'ex-activiste pour le climat Steven Guilbeault, doivent statuer sur le sort d'un important projet pétrolier offshore controversé. Le dilemme est tel que la décision a déjà été reportée deux fois ces derniers mois. Et le nouveau contexte international, avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, pourrait encore compliquer la donne. Quatrième producteur mondial de pétrole, le Canada est assis sur des réserves énormes. Mais Justin Trudeau, qui a pris des engagements climatiques forts pendant la campagne électorale, affirmait en octobre dernier qu'il fallait "s'assurer que l'industrie pétrolière et gazière arrête d'augmenter ses émissions et commence à les réduire".
La compagnie pétrolière d’État algérienne, la Sonatrach, vient d’annoncer la découverte d’un important gisement pétrolier dans le bassin de Berkine.

février 2022

TotalEnergies a annoncé jeudi une "découverte significative d'huile légère et de gaz associé" au large des côtes de la Namibie et va "évaluer la commercialité de cette découverte". Un forage sur le bloc 2913B dans le bassin d'Orange, au sud de l'Afrique, a "traversé un réservoir du Crétacé inférieur de bonne qualité et rencontré environ 84 mètres d'huile légère", indique dans un communiqué TotalEnergies, qui est l'opérateur majoritaire sur ce bloc (à 40%), aux côtés de QatarEnergy (30%), du britannique Impact Oil and Gas (20%) et du namibien NAMCOR (10%).
Le groupe français TotalEnergies a annoncé mardi avoir conclu avec l'Ouganda, la Tanzanie et son partenaire le géant pétrolier chinois CNOOC un accord d'investissement de 10 milliards de dollars dans le cadre du mégaprojet controversé d'exploitation et d'exportation du pétrole ougandais.

novembre 2021

En Afrique du Sud, la mobilisation prend de l’ampleur contre le projet d’exploration gazier et pétrolier de Shell. La major pétrolière a provoqué un tollé en dévoilant l’étude sismique tridimensionnelle qu’elle veut effectuer au large de la Côte Sauvage, dès le 1er décembre. Pour trouver des gisements de pétrole et de gaz, la multinationale prévoit d’émettre des « ondes de choc extrêmement fortes », comparables à des détonations sismiques, qui pénètrent à travers 3 km d’eau et 40 km sous la croûte terrestre dans le fond marin, mettant en grand danger toute la vie marine unique de la Côte Sauvage, et ce pendant 5 mois.
L'eurodéputée écologiste Marie Toussaint et plusieurs ONG liées à la protection des océans appellent à mettre fin "au forage des énergies fossiles en mer".

octobre 2021

Plus de 260 organisations de la société civile s’y opposent, les Nations Unies ont adressé plusieurs lettres d’interpellation à la major pétrolière, à tel point que les plus grands investisseurs du monde se sont retirés du projet ! Pourtant, Total Energies signe et persiste pour accomplir son projet pétrolier pharaonique en Ouganda, et ceci avec la complicité active de l’Etat Français.

septembre 2021

Si l’humanité veut se donner une chance de limiter le réchauffement climatique, la vaste majorité des combustibles fossiles inexploités doivent demeurer dans le sol, conclut une étude publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. Le Canada devrait ainsi faire une croix sur pas moins de 84 % de ses réserves de pétrole des sables bitumineux.

juillet 2021

Environ 11 % des forêts intactes de la planète se trouvent dans des concessions minières et 8 % dans des concessions pétrolières et gazières. Leur perte met en péril les efforts visant à sauver la faune en voie de disparition, à lutter contre le changement climatique et à préserver les communautés autochtones qui habitent ces terres intactes.

juin 2020

Plusieurs données récentes et prévisions laissent penser que les énergies fossiles entament leur déclin, accéléré par la crise du Coronavirus. Les prix en berne et les investissements en chute libre vont durablement impacter le secteur, concurrencé par des coûts du renouvelable de plus en plus compétitifs et des stratégies climatiques de plus en plus ambitieuses. L'occasion d'entamer un vrai virage vers une énergie décarbonée.